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Jeux insolents d’Emma Green

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Jeux Interdits d’Emma Green

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Ps : oublie-moi ! d’Emma Green

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Ce qui nous rend vivants d’Emma Green

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Le goût de nos rêves d’Emma Green

Résumé :

Olympe déteste Simon. Simon déteste Olympe. Ça s’annonce bien ! Paris, une coloc de filles à Bastille, des raclettes au printemps, un goût commun pour la cuisine, les chaussures, les chansons cultes et la vie au jour le jour… Olympe et Salomé s’accommodent de petits boulots, de grands plaisirs et de jolis rêves qu’elles savent intouchables. Mais quand le frère de Salomé revient de l’autre bout du monde et s’installe avec elles, leur coloc girls only change brutalement de saveur. Surtout quand Simon accepte de mauvaise grâce la requête de sa petite soeur : embaucher Olympe dans le restaurant parisien qu’il comptait ouvrir en famille. Un nouveau départ à trois, quand deux membres de cette drôle de brigade n’arrivent pas à se supporter, c’est un pari fou. Pourtant, ce bistrot ressemble beaucoup à leur rêve. Alors Olympe va accepter que celui qui squatte son canapé et ses pensées devienne aussi son boss, même si c’est tout ce qu’elle s’était juré d’éviter. Trop cliché. Trop risqué. Et pourtant, ce garçon est bien trop à son goût…

Comme toutes les nouvelles sorties de ce duo d’autrice, on attend avec impatience dans quel univers elles nous entrainent. On se demande que va subir ses personnages car il y a toujours ce mystère qui englobe les différentes publications qu’elles font sur les réseaux.

Cela fait trois ans qu’Olympe et Salomé ont construit à eux deux une famille, une famille dont les journées ne son pas toujours roses mais une chose est sûre elles sont de fidèles amies. Elles vivent ensemble, elles travaillent dans le même restaurant et elles ne laissent personne se mettre entre elles.

La preuve de leur lien si fort est tous ces surnoms qu’elles se donnent, ces surnoms qui vous donneront faim tout au long de la lecture. La complicité qui les lie leur fait partager bien plus que cette amitié, elles partagent la passion de la nourriture, celle de collectionner les chaussures avec ces achats compulsifs qui apportent de la joie à chaque transaction.

Olympe n’a pas l’avenir qu’elle pensait obtenir, elle qui a travaillé d’arrache-pied pour être une chef cuisinière de talent, elle a subi par le passé une trahison et les mensonges de son ancien mentor, ce qui l’a obligé à faire profil bas et à travailler dans un restaurant où personne n’est respecté. Alors quand son patron lui fait la remarque de trop, une remarque des plus déplacée et raciste, elle voit rouge et elle rend son tablier. Et comme les deux amies ne font rien l’un sans l’autre Salomé donne aussi sa démission.

Se retrouver au chômage n’était pas la meilleure idée pour les jeunes femmes mais l’arriver du frère de Salomé risque de mettre le feu aux poudres. Simon revient après dix ans d’absence, dix ans d’éloignement dont il avait besoin, dix ans où il a pu parcourir le monde et découvrir des merveilles de la gastronomie mondiale. Ce qu’il ne pensait pas c’était de voir ses démons, ses doutes refaire surface en acceptant l’héritage de son oncle. Heureusement pour lui l’accueil que lui réserve Salomé lui mettra du baume au cœur. Et ce même si la colocation avec Olympe nous provoquera quelques fous rires. Entre eux ce sera électrique, c’est le moins qu’on puisse dire. Ils vont s’affronter, se chercher et surtout se défier.

La résistance sera le mot d’ordre entre nos deux protagonistes, car il est impensable de succomber à leurs désirs, outre Salomé qui est chère à leurs cœurs, il n’est pas question de mélanger de prendre de risque et de s’attacher. Alors pour se repousser l’un et l’autre ils vont opter pour l’attaque, c’est-à-dire qu’ils vont se chamailler, se lancer des piques et faire ne sorte de ne jamais être dans le même espace seul.

Néanmoins travailler ensemble ne sera pas la meilleure idée pour ne pas se côtoyer, car oui entre le chef et sa sous-cheffe, il va être question de mise en place, de tester des recettes et surtout de cuisiner ensemble ces plats qui régaleront les papilles de leurs clients. C’est un pari fou que se lance Simon en ouvrant ce bistro autour du monde, servir une entrée, un plat et un dessert de trois origines différentes nous donnera l’eau à la bouche. On aimerait être un de leur client et de se régaler avec ces créations culinaires.

Ce trio sera parfait, aussi différent les uns des autres mais tellement complémentaires. L’exubérance avec la libérée Salomé, la gentillesse d’Olympe et Simon l’altruiste.  

Comme souvent dans les romans ce ces auteures on est touché par la finesse avec laquelle elles abordent les sujets délicats. Car oui on ne vit pas dans un monde où tout est rose, les préjugés des gens et leurs esprits étriqués vont blesser nos protagonistes. Les sujets abordés seront nombreux, entre la peur de l’abandon, le racisme, la peur et les violences, quelles soient verbales ou physiques.

Ce que j’adore dans ce roman c’est d’avoir des clins d’œil à des autres personnages, j’ai eu le sourire aux lèvres quand on arrivait à ces passages.

Les émotions sont nombreuses, on commencera avec de l’humour, que ce soit les exubérances de Salomé ou les joutes verbales entre Olympe et Simon, puis il sera question de tension quand on verra nos deux protagonistes principaux combattre les sentiments qu’ils éprouvent et qui prendront peu à peu possession de leurs corps et enfin de la tristesse quand tous les voiles tomberont au sol et que les vérités sur le passé de nos personnages seront révélées.

Sans oublier bien sûr les références sur les séries télés, les chansons et bien d’autre encore.

Emma Green ont le chic pour nous toucher en plein cœur, elles nous livrent un livre plein de sens qui nous parle et qui dit tout haut ce que beaucoup cache. Elles nous montrent que dans la vie il ne faut pas se cacher derrière des remarques blessantes, il faut relever le menton et réaliser nos rêves.

On ne décroche pas de notre lecture, les mots nous emportent dans un autre univers, on salive de ces plats, on palpite de cette valse qui se joue et on sent nos nerfs être mis à rude épreuve.

L’opportunité de lire ce type de roman est un privilège, il nous apporte tellement, une manière de suivre une thérapie et d’apprendre à ne pas juger sur les apparences.

Une belle histoire et si vous aimez manger à toute heure du jour et de la nuit, je vous recommande de découvrir ce trio qui seront ravies de vous servir une raclette en avril.

Addictives - Luv·Emma Green

La vie en vrai d’Emma Green

Résumé :

Et si s’accepter comme on est, c’était commencer à vivre pour de vrai ? À 17 ans, Louve est la victime des Royals, ces élèves populaires qui la harcèlent au lycée comme sur les réseaux sociaux jusqu’à la pousser au pire. Mais quand on touche le fond, il n’y a plus qu’une chose à faire : remonter. Aidée de sa famille, parfois maladroitement, Louve décide de rendre les coups et se rapproche du plus cruel de tous, l’intouchable Lazare Nightingale. Sous ses boucles brunes, Laz ne cherche qu’une chose : qu’on lui fiche la paix. Et tant pis si pour ça, il doit se montrer odieux. Mais il n’imagine pas encore que sous la fragilité de Louve se cache une guerrière. Ni que son attirance pour elle va peu à peu briser ses barrières. Emma Green nous plonge dans l’histoire d’un premier amour qui sauve la vie…

On se retrouve pour mon avis sur le dernier roman des autrices Emma Green, car oui pour ceux qui ne le savent pas déjà ces auteures sont deux, deux plumes qui depuis plus de dix ans nous comblent par leurs histoires plus particulières les unes des autres. Elles ont décidé ici de s’attaquer aux harcèlements scolaires, les conséquences qui en découlent suite aux mesquineries, aux humiliations et à la solitude que certains vont ressentir.  

Dans ce roman tous est une question de vrais semblant, de se confondre dans la masse et d’être le plus cruel pour faire partie de l’élite.

On se dit que comme Louve, en étant la fille du talentueux et respecté Wolf Larsson et de Leonore cette femme qui a gardé la tête haute malgré son passé, devrait avoir la force en elle pour ne pas faire attention aux remarques déplaisante, devrait croquer la vie à pleines dents mais c’est tout autre. Elle va nous montrer à travers son histoire que la société est faite de préjugés, de loi du plus fort et surtout de mal-être bien ancré à cause des violences verbales.

Louve, âgée de 17 ans, a fait sa rentrée dans un nouveau lycée suite départ de la capitale de ses parents, voulant offrir à leurs filles une opportunité en or. Mais voilà elle qui aimait sa vie parisienne va se trouver propulser parmi les hyènes, les Royals, les populaires du lycée qui prennent un malin plaisir à rabaisser les autres élèves qui ne trouvent pas grâce à leurs yeux. Au bout de quelques semaines à subir toutes ces attaques, ce mal gratuit, elle va commettre un acte de détresse, un appel au secours, une manière de se libérer de son mal-être.

Ce sera pour ses parents un enfer, ils n’arriveront pas à comprendre ce qui a amené leur fille à attendre à sa vie, à quitter ce monde qui s’offre à elle mais surtout ils penseront avoir louper leurs rôles de parents, un rôle protecteur devront protéger les leurs. Outre ça, ils n’obtiendront pas de Louve les informations nécessaires pour arrêter la folie des Royals, car elle ne s’imagine pas les dénoncer. La seule qui arrivera un tant soit peu à lui tirer les vers du nez, sera sa tante hors norme, Willa (qu’on avait découvert dans bien plus forte que toi, un roman touchant parlant de la grossophobie), cette femme au franc parlé qui n’a pas perdu de sa verve au fil des ans, elle a été pour moi plus apte à comprendre la jeune fille.

« Il est là le piège. Plus tu fais semblant, plus tu encaisses en serrant les dents, plus tu mets de temps à en parler et plus tu tombes profondément. T’es foutue. Tu te retrouves coincée. Seule. »

Dans la vie il est compliqué de montrer nos faiblesses, on a l’habitude de montrer ce que veulent savoir les autres, car oui on a beau le dire mais tout le monde à ce côté égoïste en soi qui fait que même si on demande comment ça va, on n’a pas forcément envie de connaitre la réponse, c’est juste une simple formule de politesse. Vous me direz que c’est faux mais jeté moi la pierre si vraiment lorsque vous allez au travail vous vous souciez de la vie de chacun de vos collègues.

Dans le contexte des années lycées c’est un peu la même chose, ici c’est la course à la popularité et souvent, les lycéens sont prêts à sacrifier leurs amis pour atteindre la haute sphère. Et ce sont les membres de la direction, les professeurs qui ferment les yeux ne voulant pas, non plus, se mettre à dos les mécènes. C’est malheureusement la triste réalité.

Même si la vie ne s’est pas arrêtée en en son absence, elle va vite constater que son acte n’est pas passé inaperçu et qu’il va être source de plus de moqueries encore. Heureusement le soutien des siens, même s’il est parfois maladroit, va la pousser à redresser les épaules et rendre coup pour coup. Et pour ça elle va devoir viser le King des Royals, Lazare, cet élève qui est adulé de tous. Il est mystérieux, parle peu et agit de manière contradictoire.

« -Ecoute-moi bien : tu es intelligente, tu as des valeurs, tu es belle comme un cœur, dedans comme dehors, tu ne mérites rien de tout ça, OK ?! Je ne sais pas pourquoi ils s’acharnent sur toi, mais quelque part, c’est forcément qu’ils ont besoin de détourner l’attention de leurs propres insécurités. »

Endosser un rôle est plus facile que de se faire aimer pour ce qu’on est réellement, Lazare le sait pertinemment, lui qui dès le premier jour joue à ce qu’il n’est pas pour vivre en paix. Lui qui cache plus qu’une identité se doit d’agir comme le dernier des connards pour maintenir la supercherie en place. Bien qu’on penserait qu’il n’éprouve aucun remords, il va montrer que son cœur et son esprit sont en totales contradictions et qu’il n’est pas indifférent aux actes de Louve. Devoir la côtoyer pour ces travaux d’écoles va lui permettre de mieux la connaitre, de découvrir une femme pleine de vie, une femme forte qui fait face à bien des tourments.

Ce roman est une belle leçon, il est poignant d’émotion, de révélation aussi. On a beau nous répéter que dans la vie les épreuves seront multiples, les coups bas feront partie de notre quotidien mais quand il arrive si jeune dans notre existence c’est notre faiblesse qu’ils trouvent. Courber l’échine est plus simple que de dénoncer nos harceleurs. Les auteures ont réussi à parler de tous ces aspects à travers l’histoire de Louve et Lazare. Elles vont nous serrer le cœur, le maintenir dans les griffes du doute, de l’appréhension et de la frustration.

Le harcèlement est un fléau, il pousse à agir par bêtise et par cruauté, rien ne nous prépare à ça, Louve en est l’exemple même, les auteures ont su nous détailler toutes les causes et conséquences, on a cette impression de vécu. C’est bien plus qu’un roman, c’est un exutoire. C’est je pense un roman qui devrait être lus par les plus jeunes, un roman qui apporterait sa sagesse, qui montrerait à quel point le harcèlement peut être fatale.

J’ai aimé la diversité des personnages, j’ai été conquise par le déroulé de l’histoire et l’évolution de la relation entre nos deux protagonistes principaux. Retrouver les personnages de PS : Oublie-moi ! fut un plaisir mais j’ai trouvé que Leonore était plus effacée, plus cruelle aussi, alors certes sa vie n’est pas simple, ses préoccupations et doutes intenses mais elle est passée à côté des tourments de son propre enfant.

Bon j’avoue j’ai très vite compris qui se cachait derrière NightBird, mais les raisons étaient floues et j’ai bien aimé être plongé dans ces discutions qui ont semé le doute tout au long des chapitres.

C’est encore une réussite pour les autrices qui ont véhiculé un message fort, un avertissement envers tous et une belle histoire car la vie vaut la peine d’être vécu et les masques cachent bien des secrets.

« Lentement, sa bouche se rapproche de la mienne et sa main se pose sur ma cuisse pour remonter le long de mon collant. Je frémis, sous l’effet de la panique, mais aussi du désir. Une petite flamme de l’enfer s’allume et grandit dans mon bas-ventre. Ses lèvres sont trop près. Sa main trop… là. L’attirance démente que je ressens pour lui à cet instant me fait paniquer. J’en oublierais presque mon objectif. Et à quel point je le hais. »

La barrière entre la haine et l’amour est fine, et les raisons qui poussent aux attaques sont dès fois une envie de se protéger de la souffrance d’aimer.

  • Nombre de page : 473
  • Editeur : Addictives – Luv
  • Prix Ebook : 9,99 euros
  • Lien achat Ebook : ICI
  • Prix Broché : 17,90 euros
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Addictives Poche·Emma Green·Service Presse

Fais-moi une place d’Emma Green

Résumé :

Juliette chante l’amour sur scène tous les soirs, sans trop y croire. Quand elle se retrouve à la rue, elle accepte une drôle de mission : jouer les dames de compagnie pour une grand-mère aussi seule que guindée, en lui chantant ses airs préférés. Mais une nuit, un inconnu vient s’installer juste sous les toits, au dernier étage de cet hôtel particulier perché sur les hauteurs de Montmartre : un mystérieux brun aux cheveux longs, à la barbe mal taillée, au regard noir et au verbe rare. Entre Juliette, la chanteuse libre et romantique, Suzanne, la vieille dame snob et attachante, et Laszlo, le ténébreux aussi attirant que dangereux, cette colocation forcée s’annonce… compliquée. À moins que chacun accepte de faire une petite place à l’autre ? Dans une ambiance douce et joyeuse, Emma Green parvient à instiller une tension irrépressible entre ses personnages. Une histoire pétillante et parfaitement maîtrisée ! Ce livre a initialement été publié en grand format sous le titre « (Im)parfait ».

Se retrouvant du jour au lendemain à la rue, elle va apprendre que sa mère non seulement criblée de dette, ayant fui en Amérique Centrale aurait contracté un viager. Mais ce n’est pas le plus étonnant venant de sa génitrice, en effet cette dernière l’aurait mis au nom de la jeune femme pour lui assurer un certain avenir.

Juliette n’est pas comme sa mère, elle est droite, se bat jour après jour pour survivre, c’est une chanteuse qui se produit dans les bars mais dont la carrière ne décolle pas plus que ça, du fait des malversations de sa mère.

Elle n’aura d’autre choix que de se rendre dans cet hôtel particulier et voir un emménagement est possible. Ce qu’elle ne s’attendait pas à découvrir c’est une mamie de 84 ans qui pète la forme et dont son côté grincheux est attachant. Elle va se prendre d’affection pour cette vieille dame qui est bien seule dans cette maison. Et on va dire que la proposition qu’elle va lui faire sera son salut.

Cette femme m’a fait de la peine, sa solitude est si criante alors qu’elle est à la tête d’une tribu bien grande. Mais ne dit-on pas souvent que même entourée de monde on peut bien se sentir bien seule. Ses descendants sont à l’image même de la bourgeoisie, aucune tendresse échangée, aucune extravagance. Ils ne se réunissent que pour les grandes occasions et pour eux seul point commun :  l’héritage qu’ils attendent avec impatience.

« Non, vous n’avez pas l’air bien dégourdie. Mais vous avez la voix, le regard et le cœur. C’est tout ce qui compte dans la vie. Une voix sûre, un regard dur, un cœur doux. »

Être sa dame de compagnie n’est pas de tout repos, le petit piaf comme la surnomme Suzanne doit faire face aux exigences de cette dernière qui passe du coq à l’âne et dont les goûts musicaux peuvent parfois laisser à désirer. Malgré tout ça elle nous fait bien rire par ses expressions vieillottes, sa manière de critiquer tout et sa langue bien pendue.

Juliette qui pensait avoir un quotidien plus tranquille, elle va affronter un regard envoûtant et un physique plus qu’appétissant. Il semblerait qu’elle et Suzanne ne soient pas les seuls occupant de cette maison, en effet Laszlo, le petit-fils de la vieille dame a pris ses quartiers à l’étage du dessus et il faut dire qu’entre nos deux jeunes l’entente ne sera pas au beau fixe.

Il est une contradiction à lui seul, autant il peut se montrer horrible face à Juliette autant les instants qu’ils passe en compagnie de sa grand-mère nous touche. Il est le petit-fils parfait, à l’écoute de son ainée, l’aidant dans les basses besognes, la faisant rire, passant du temps avec elle et surtout lui vouant un amour et une reconnaissance sans faille, la protégeant de tout danger. Il faut dire que cette dernière est son pilier, celle qui croit en lui et qui, au contraire de sa famille, ne le rejette pas. On comprend vite qu’il souffre, que quelque chose de grave a fait de lui l’homme taciturne, un homme qui se méfie de tous.

« Cette voix. Ce timbre. Du velours de crème. Du chocolat fondu brûlant. Une bombe à retardement. »

Juliette ne compte pas se laisser faire aux attaques de ce nuisible, elle lui tient tête, le pousse à bout. Elle en a assez bavé et ce n’est pas cet apollon qui la mettra dehors.

Même si le roman n’est qu’une seule voix, on comprend qu’ils se troublent l’un et l’autre. Ils se cherchent, s’affrontent avec délice et très vite la pente devient de plus en plus glissante.

Les autrices ont su nous faire aimer cet homme en apparence arrogante, le peu de dialogue nous fait nous poser des questions sur les sentiments de Laszlo mais qui une fois décortiqué, nous apparait comme un enfant en manque d’affection. Je dirais même que nos deux personnages se ressemblent car tout deux ont dû grandir sans réelle famille aimante.

Ce trio nous enchante autant pour l’électricité qui crépite entre nos deux protagonistes, que notre Suzanne qui se moque de la bienséance et ces chansons qui nous font rêver sur bien des points.

« J’avance à nouveau vers lui, tente de poser ma main sur son torse, mais il intercepte mon poignet et le tient éloigné.

– Arrête de voir tout en noir, Laszlo…

– Arrête d’essayer de faire rentrer la lumière ! grogne-t-il en me repoussant en arrière. »

J’ai apprécié ma lecture, j’ai passé un moment de plaisir en compagnie de ce trio, tout y est pour savourer ce roman grâce au solitaire, le petit piaf et l’impétueuse grand-mère.

Emma Green a encore réussi à nous livrer un message fort, celui du pardon de soi, de l’acceptation de ses erreurs et de la loyauté qu’elle soit familiale ou de cœur.

  • Nombre de page : 331
  • Editeur : Addictives
  • Prix Poche : 7,90 euros
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Toi + Moi : Envers et contre tout de Emma Green

Résumé :

Tous l’ont sous-estimé. Sauf elle. Attaqué de toute part, Vadim est sur le point de perdre ce qu’il a de plus cher, l’amour d’Alma. Mais est-elle vraiment la femme de sa vie ? N’a-t-il pas plutôt passé les douze ans de leur séparation à fomenter sa vengeance ? C’est en tout cas ce qu’Alma croit à présent et, quand bien même elle aurait tort, le poison insidieux du mensonge s’est glissé entre les deux amants. Mais Vadim King n’a pas dit son dernier mot. Le mauvais garçon de la fac de LA n’est pas devenu le big boss redouté d’un empire du cinéma pour renoncer aussi facilement. Alors, quoi qu’il ait pu faire ou quel que soit le piège qu’on essaie de lui tendre, il ne lâchera rien. Et surtout pas Alma.

Vous le savez ce duo de plume est un des premiers que j’ai découvert il y a maintenant huit ans environ. Et j’avais bien sûr déjà découvert l’histoire de Vadim et Alma lors de la première publication et que j’ai aimé les redécouvrir maintenant. Même avec toutes les nouvelles plumes, les nouveaux thèmes et les nouveaux écrits de ces auteures, je peux vous confirmer que j’aime toujours autant CETTE histoire car elle renferme tous ce que j’aime à savoir des secrets, des doutes, un côté sombre et la rédemption. Vadim est un des personnages favoris car il réunit tous ces aspects des torturés qu’on aime.

Alors oui je vous l’accord certains ne vont pas accrocher, vont peut-être trouver l’histoire plate avec une héroïne faible mais il faut analyser plus en profondeur ce qui fait que Alma agisse de la sorte. Car Alma a tout sacrifié pour l’amour de sa vie, même si douze ans sépare ses deux pans de sa vie, il ne faut pas oublier qu’elle a dû faire face aux ordres de son paternel qui dirigé sa famille d’une main de fer. Et sans ce sacrifice, ça aurait été l’avenir de Vadim qui aurait été réduit à néant et pour moi c’est le sacrifice ultime, celui qui prouve l’amour inconditionnel qu’on porte envers une personne.

Cette troisième partie, car oui c’est la troisième en comptant le préquel de douze ans plutôt nous apporte tellement de réponses qui ont sens ici, surtout face au comportement un brin borderline de Vadim, il est si secret, si changeant, que dans la première partie de leur retrouvaille on se perdait face à mister King.

Les auteures n’ont rien laissé au hasard, elle dissémine de page en page le ressenti des émotions contradictoires d’Alma qui lui font perdre la tête, elle ne sait comment réagir face à celui qui est tout son monde, comment croire ce qu’il lui dit en voyant et écoutant tout ce qui se passe ailleurs, on veut le nuire, ruiner leur retrouvaille, leur bonheur renaissant mais la confiance est le mot clé pour ne pas perdre pied.

« Je lutte pour empêcher mes larmes d’affluer, ce que je ressens à cet instant est indescriptible. Un mélange de soulagement, d’amour viscéral et … de chagrin. »

Vadim, lui, garde en tête sa vengeance, celle qui le maintien debout depuis tant d’années, cette quête de vérité mais de nos jours toutes vérités n’est pas forcément bonne à prendre. Car derrière les plus gros secret, certains peuvent tout remettre en question et détruire toutes nos certitudes. Jamais nous ne nous serions douté de ce que les révélations que va apprendre le P.D.G. va lui apprendre et les trahisons qu’il subira aussi ne viendront pas forcément de où il s’attendait.

La seul constante restera toujours cette amour qu’il porte envers Alma, il sait que même si elle lui échappe par moment, si elle se cache, le destin les réunira, c’est cet élément qui fait qu’il a l’air serein, qu’on a l’impression qu’il prend les doutes de sa compagne par-dessus la jambe mais au fond on sait, on ressent qu’elle est la personne la plus précieuse à ses yeux.

Cette relecture m’a permisse de redécouvrir les émotions puissantes de ce roman, de redécouvrir les choix, parfois compliqués que nous devons prendre pour nous et ceux qu’on aime et il m’a permis de ressentir l’amour qui dure éternellement.

  • Nombre de pages : 461
  • Éditeur : Addictives – Poche
  • Prix Ebook : 4,99 euros
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  • Prix Broché : 7,90 euros
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Addictives - Luv·Emma Green·Service Presse

The Boy on Fire de Emma Green

Résumé :

Il a le feu en lui. Acceptera-t-elle de se brûler les ailes ? À 21 ans, Jagger l’éternel joueur n’a toujours pensé qu’à lui et à profiter de la vie. Mais aujourd’hui, il doit voler au secours de Kasper, son petit frère de 17 ans tombé dans une secte. Là-bas dans l’outback, au fin fond du désert australien, on ne joue pas, on ne sourit pas, et surtout on respecte les règles sous peine des pires châtiments. Car de cet endroit qu’on appelle Le Cercle, on ne revient pas. Pour infiltrer cette communauté secrète et en sortir son frère, Jagger accepte d’épouser Nell, une fidèle disciple aussi fermée qu’indéchiffrable. Mais derrière ses yeux vairons troublants, la mystérieuse blonde se révèle moins douce et docile qu’elle n’y paraît. Et le fougueux Jagger, qui pensait ne jamais tomber amoureux, va devoir faire l’impossible choix : son frère ou l’amour ? Sa liberté ou le risque de tout perdre ?

A force de me connaitre vous savez que j’adore la plume de ces auteures, elles ont toujours les idées qui fusent, nous apportons des livres avec des messages forts et celui-ci n’y échappe pas.

Dans ce spin-off de The Boy Next Room, on aura l’histoire de Jagger, le rigolo de service des frères Farrow, un des personnages que j’avais bien aimé car c’était celui qui détendait l’atmosphère parfois tendu entre River et Céleste, la petite touche de légèreté dans cette relation dite interdite.

Cet homme ne faisait que s’amuser, il était un tombeur de ses dames et pour lui les attaches, pas moyen, trop de choix pour choisir une seule personne. Le seul lien indéfectible pour lui était celui qui l’unissait avec sa famille, ses trois frères et son père, à cela s’est rajouté bien sûr la belle Céleste mais dès le départ on sent que quelque chose cloche, que son sourire se fane et surtout qu’une partie de lui est parti dans les néants. Je n’avais jamais connu une telle tristesse dans le début d’un livre de ces auteures et pourtant mon cœur a été meurtri et j’ai eu du mal à m’en remettre.

Ici Jagger n’est pas enclin à de nouvelle perte et pour ça il est prêt à tout pour sortir son frère de ce cercle, de cette secte dans laquelle il est rentré de son plein gré pour l’amour d’une fille. Celui qui est le cadet de la fratrie des Farrow, Kasper le génie en technologie, a trouvé l’amour et pour mériter la main de celle qui fait battre son cœur il a intégré cet endroit dirigé par le diable en personne. Ici dans l’outback de l’Australie, le Saint n’accorde aucun confort à ses disciples, pas d’électricité, pas d’eau courante, pas de gaz, ici la moindre chose se mérite, seul le dur labeur a de la valeur.

Même si il se doit d’être discret il va être confronté au dessein de cet homme impitoyable, le mariage de force en un sens, aucune objection possible. Voilà donc Jagger marié à cette femme pour qui sourire est impossible, son regard acéré et cette rage qui bouillonne en elle. Mais il va falloir composer et arriver autant à jouer ce rôle et préparer ce sauvetage.

Nell est une jeune femme qui a besoin de venger la disparition de son frère, elle n’est pas née au sein de ce cercle mais y a grandi durant toute son enfance, durant neuf années elle a dû se plier aux règles, aux désidératas du Saint, ce messager des voies divines qui donne comme il reprend.

Il y a deux ans elle pensait en avoir fini avec cet enfer mais elle avait dû le quitter sans une partie d’elle-même, ce frère qui aujourd’hui n’est plus.

Elle va devoir se faire petite, réapprendre à obéir, ne pas faire de vagues et surtout faire bonne figure pour découvrir ce qui est réellement arrivé à Seth.

Mais le répit sera de courte durée car le Saint a des projets pour cette dernière, il la veut mariée, une manière de la contrôler car la confiance est une chose précieuse pour lui, tout comme le contrôle. Donc il se doit de la lier à ce nouveau venu, une manière de surveiller tous leurs faits et gestes.

« Sa voix charmeuse et son sourire en coin me titillent à l’intérieur, mais je ne montre rien, si ce n’est de l’agacement. Il n’a pas besoin de savoir l’effet qu’il me fait, je n’ai pas envie que ça change quoi que ce soit entre nous ou dans son attitude à lui. Alors, pour le principe, je lui file une petite taloche à l’arrière de la tête, il lâche l’un de ses cris aigus insupportables avant de fourrer dans sa grande bouche un bout de brioche trouvé sur la table. »

Passer du temps ensemble sera une épreuve mais une nouveauté pour nos deux protagonistes. Jagger comprendra vite que sa femme a des idées derrière la tête, il va devoir la dérider, lui tirer les vers du nez car outre ces mystères, il n’oublie pas que si elle commet un pas de travers c’est tout son plan qui prendra l’eau et ça il n’en est pas question.

Jagger est plus adulte, plus responsable dans ce livre, il va nous montrer que quel que soit les sacrifices, il sera prêt à tous les faire pour sauver notre petit Kasper, celui qui a toujours eu du mal à trouver sa place en ce monde et qui va toujours au bout de ses idées.

La tension dans cette maison sera intense, ce nouveau couple, ce faux couple qu’ils doivent jouer prendra très vite une tournure électrique, l’un comme l’autre apprendra à déceler les non-dits, les gestes autant attendrissants que destructeurs et qui les pousseront petit à petit vers cette ligne que Nell ne veut pas franchir.

Les secrets devront être dévoilés, s’entraider, agir ensemble s’ils veulent que leur plan fonctionne.  

Les auteures ont réussi à nous faire ressentir un tumulte d’émotions avec tous les rebondissements, heureusement aussi qu’elles ont mis ce roman à deux voix car jamais nous n’aurions pu comprendre les sentiments de nos deux protagonistes sans infiltrer leurs pensées les plus intimes. Trois parties qui nous ont faire battre notre cœur à chaque fois car nous retenons notre souffle avec tous ces événements, la perte de liberté, la passion qui les submerge, la peur des conséquences, la détermination des personnages nous clouent sur place, jamais je n’avais ressenti autant de frustration durant un roman.

J’avoue que cette brique, car oui elle nous fait autant mal mentalement qu’elle pourrait en faire physiquement, est un inédit pour les auteures car cet univers est sombre, très sombre même, il prend le pas sur la romance car même si il y en a j’ai trouvé que les auteures ont été au fond des choses avec cette secte, je ne pensais pas qu’elle irait aussi loin quand car les personnages ne sont pas du tout épargnés.

Ce livre est un petit chef d’œuvre, un de ceux qu’on ne peut oublier, il restera graver dans notre esprit.

  • Nombre de pages : 486
  • Éditeur : Addictives- Luv
  • Prix Broché : 17,90 euros
  • Lien achat Broché : ICI
Addictives Poche·Emma Green·Service Presse

L’un contre l’autre – Toi + Moi Première partie de Emma Green

Résumé :

Elle avait laissé un bad boy, elle retrouve un big boss ! Alma Lancaster ne pensait plus jamais entendre cette voix, celle de Vadim Arcadi, son premier amour. Mais le bad boy du campus est devenu un big boss redouté, et pas n’importe quel patron : celui d’Alma ! De la fac de cinéma à l’empire de King Productions, Vadim King a changé de nom, changé de vie. Mais dans ses yeux brille toujours la même rage de vaincre, sous sa peau bat toujours le même coeur indomptable. Douze ans après leur douloureuse séparation, la passion renaît et, entre eux, la confrontation prend des allures de duel.

Vadim a tellement souffert de sa rupture, ou plutôt de la fuite de son ex il y a de ça douze ans, il a traversé tellement de sombres moments et le vide qu’il a ressenti à la suite de l’abandon d’Alma l’a poussé à se dépasser pour prendre sa revanche sur la vie, sur les gens qui l’ont pris pour un moins que rien.

Aujourd’hui il est à la tête de King production, il est devenu milliardaire et peut se pavaner aux bras des plus belles femmes. Mais l’amour qu’il portait à son ex, il n’a jamais pu s’en défaire, elle était celle qui avait su le voir tel qu’il était réellement, lui l’orphelin en manque d’amour et souffrant de la perte de ses parents, elle était sa moitié. Alors quand il va la revoir à cette réunion, son cœur va avoir un loupé, se pourrait-il que le destin leur offre une seconde chance ?

Alma est une jeune femme qui a tout fait pour tourner la page sur cet homme qui avait était son premier, premier amour, premier amant, meilleur ami, celui qui l’avait poussé au-delà de ses limites, mais jamais elle n’a pu l’oublier, jamais elle n’a pu faire une croix sur cette relation, chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour depuis ces douze dernières années, elle n’a fait que survivre son la moitié de son cœur.

C’est une femme forte mais une femme qui cache bien ses faiblesses, ses peurs, en même temps c’est la devise de sa famille, ne jamais rien laisser paraitre, être le meilleur dans ce qu’on fait et ne pas se laisser distraire. La voilà enfin avec une vie qui ne fait, certes, pas rêver, mais une vie dans laquelle elle survit. Un bon poste, une carrière bien lancée, elle a repris un peu pied depuis sa dernière relation et elle est bie entourée, entre sa sœur Lily qui squatte chez elle et sa meilleure amie qui l’épaule dans les difficultés.

Alors retrouver son amour de jeunesse, cet homme qui en un regard a fait rebattre son cœur mais dont l’ignorance qu’il lui porte la touche plus qu’il ne lui devrait.

Très vite elle sait ce qu’elle doit faire : parler avec lui, crever cet abcès qui traine depuis douze ans, voir s’il pense toujours à elle, à eux et surtout démontrer qu’ils sont faits l’un pour l’autre.

« -La sortie est par là. La prochaine fois que tu auras quelque chose à me dire, envoie-moi ton assistant, ça nous évitera de perdre notre temps, dis-je en me rapprochant de la porte.

-Tu m’as déjà fait perdre mon temps il y a douze ans. Ça ne se reproduira pas, conclut-il en s’apprêtant à quitter les lieux.

Cette phrase a eu l’effet escompté. Il voulait me faire mal, me blesser, il y est arrivé. Au moment où il franchit le pas de la porte, je sens les larmes monter. Ce salaud a visé juste, il a réussi à me mettre K.-O. en quelques mots. »

On est ici dans la suite du tome Seuls contre tous, leur rencontre à l’université et surtout leur coup de foudre après ce duo forcé par leur professeur de cinéma.

On comprend vite dans ce livre que la douleur est présente mais avec elle il y aussi le doute, le doute que ressent Alma face aux attitudes de Vadim qui souffle le chaud et le froid, il va la déstabiliser, la rendre chèvre et surtout la mettre au supplice. L’intensité est encore plus intense ici, le temps n’a fait qu’accentuer la passion qui bouillonne entre eux. Ce sera un peu le jeu du fuis moi, je te suis et inversement.

Alma partira plus d’une fois au quart de tour, on remarque qu’elle n’a pas confiance en mister King, elle va souffrir et cette souffrance sera encore plus grande qu’avant, mais un mot de son russe, un regard, une caresse la fera plier.

On peut se demander si leur relation est saine, si on n’est pas dans un cycle toxique. C’est légitime car on a que le point de vue de la jeune femme mais grâce aux chapitres bonus on voit très vite que c’est tout l’inverse, on est dans un cycle du pardon, de recommencer à zéro en essayant de faire table rase du passé.

Vadim est le King, le roi du paraitre, il a évolué, il s’est forgé un nom dans son univers et il a gravit les échelons, aujourd’hui il lui manque que les réponses qu’ils se posent depuis douze ans mais pas que, il a aussi une autre quête, une de celle qui est légitime, qui nous rendra triste pour lui.

Mais derrière tout ça il porte un masque, il a compris que ses sentiments doivent être enfouies profondément pour ne pas être découvert. Lorsqu’il va subir des attaques contre sa société, il aura du mal à faire la part des choses. Il est quand même un homme au sang chaud et dont toutes sa vie il a subit le mépris de tous.

Les deux protagonistes sont attachants mais aussi énervants, ils font un pas en avant deux en arrière. Le monde du cinéma est passionnant et on est plongé sous tous les aspects.

Les auteures ont réussi à merveille pour nous émouvoir de cette histoire, de ce périple, de ces retrouvailles. Elles ont fait en sorte de nous garder au supplice avec cette fin qui nous tire une petite larme, on est aussi démuni que Alma, on se questionne, on veut savoir le pourquoi du comment.

Le mélange de ces deux plumes et enchanteresse et comment dire que je le dis et le répète, je veux un spin-off sur Félix, s’il vous plait les filles faite lui une place dans votre planning. Je suis sûre qu’il y aura de quoi le mettre en avant dans des péripéties des plus rocambolesque.

  • Nombre de pages : 495
  • Éditeur : Addictives – Poche
  • Prix Ebook : 4,99 euros
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